Lorène et Giulia, deux amies d'enfance que tout oppose. L'une s'imagine mener sa barque en solitaire et travailler dans une galerie d'art à Paris. L'autre rêve de trouver le prince charmant et de construire une famille. Elles sont inséparables malgré les divergences et les kilomètres qui les séparent. Mais la vie a plus d'un mauvais tour dans son sac et va s'en mêler, pour les éloigner de leurs rêves et les emmener dans une dure réalité. Tandis que Lorène va lutter contre sa peur de vivre, Giulia va elle se battre pour rester en vie. C'est l'histoire d'une amitié qui va raconter l'impossible, d'un combat contre soi-même et de l'espoir qu'on peut trouver au plus profond de la noirceur. Des bâtisses colorées de l'Italie aux ruelles de la capitale parisienne en passant par les Alpes, ces deux amies nous emmènent dans un voyage rempli de promesses, de celles que l'on se fait en étant persuadé qu'on pourra les tenir.
Coup de coeur ❤️
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J’ai découvert la plume de l’autrice avec son premier roman Les oeillères de l’éléphante que j’avais beaucoup aimé. A la sortie de son second roman, j’ai sauté sur l’occasion et la magie a à nouveau fonctionné. J’ai eu un véritable coup de cœur pour sa plume, cette histoire, les émotions qu’elle fait passer.
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Un roman vraiment plein d'émotions et dans lequel on sent qu’il y a du vécu au travers de cette histoire si tragique. Au-delà du tragique lié à la maladie de Giulia, c’est aussi une histoire d’amitié vraiment incroyable entre les deux femmes Lorène et Giulia.
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Un livre qui m’a complètement conquis ❤️
Je m'étais promis de ne plus lire ce genre de livre.
J'avais lu, il y a 9 ans, de Lorraine Fouchet : « La mélodie des jours », ce livre m'avait beaucoup ému et marqué, mais aussi un peu refroidi.
Quand Laurie m'a écrit qu'elle « serait ravie de me faire découvrir son second roman », je me suis dis, allons, je vais faire un effort…
Je ne regrette pas d'avoir fait cet effort. C'est un livre plein d'émotions, de gentillesses, de complicités et d'amour qui m'a fait découvrir un univers jusqu'alors inconnu.
Personne ne souhaite que cela arrive à ses proches, et pourtant le destin se charge de persécuter des innocents.
On découvre les arcanes de tous ces examens, divers que je ne citerai pas, mais qui bien avant de tenter de soigner, épuisent les malades. C'est un enfer ! Une torture pour ceux qui les subissent.
Aussi, dans ce roman, heureusement que l'auteure réussie à nous sortir de ce monde et nous fait voyager, et plus particulièrement en Italie d'où est originaire Giulia, atteinte d'un cancer du sein. L'amitié est très forte entre Giulia et Lorène, et on le ressent au travers des nombreux dialogues, tout au long du récit. Cela apporte un peu de gaîté à cette lecture dont il faut parfois se retenir de ne pas s'énerver devant une sorte d'injustice.
Il faut toujours garder espoir, c'est ce que pense Giulia, mais cette maladie est trop forte. Elle aussi est forte, tout son entourage, constitué de sa famille, ses ami(e)s la soutient, mais au bout de 3 longues années, faites de hauts et de bas, c'est le très bas qui survient.
J'avais envie d'inverser les choses parfois, tout du moins de le souhaiter, mais ce n'était qu'un voeu pieu.
Merci beaucoup Laurie pour cette lecture qui m'a bien chamboulée et un grand bravo pour avoir réussi à mettre en page un tel récit qui a certainement dû fortement vous éprouver.
La douceur du piment rouge
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