"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'enfer est pavé de bonnes intentions. La Dilcrah aussi, dont l'objectif proclamé est la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti- LGBT. Trois présidents, Nicolas Sarkozy, le fondateur, François Hollande, le consolidateur, et Emmanuel Macron, le protecteur, ont construit, développé et pérennisé ce « bidule », qui s'est transformé en machine de guerre liberticide, interdisant de facto l'humour, l'ironie, la nuance, entretenant les maux qu'il est censé combattre. Un organisme qui agit comme un producteur d'électricité statique autour de ses obsessions, le racisme et la transphobie, en hystérisant le débat et en l'étouffant. Une saine compréhension de sa nocivité devrait conduire à une mesure de salubrité publique : la disparition de cette institution.
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