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Cet essai analyse la crise politique des élections présidentielles de novembre 2010 en Côte d'Ivoire. Ces dernières auront révélé au monde entier comment l'Occident impose les présidents dans les pays africains. Par conséquent, on peut s'interroger sur le choix de la communauté internationale (Europe, USA et ONU) en Côte d'Ivoire.
Ces élections étaient-elles réellement libres, transparentes et démocratiques ? Laurent Gbagbo, le président sortant était-il vraiment un dictateur comme on a décidé de nous le présenter ? L'implication active de l'ancienne puissance coloniale était-elle réellement désintéressée ? Y aurait-il une démocratie pour l'Europe et une autre pour l'Afrique ?
Face à ces interrogations, Adjal Delarci met d'abord en exergue le rôle des médias, ensuite il s'interroge sur l'universalité des valeurs dites démocratiques, puis il met en cause la sincérité de ces élections. Ses critiques sont toujours positives. Enfin, loin de toute condamnation facile, il dénoue ici les fils d'un drame politique dont les stigmates marqueront à jamais tout un pays.
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