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En ce XIIIe siècle de notre ère, le monde musulman est agité.
Pourtant, en Syrie, en 1240, alors que tout vacille autour de lui, Ibn Baytar, médecin, botaniste et pharmacologue andalou renommé, s'attelle à une oeuvre monumentale : un recueil des médicaments simples et des aliments. Avec l'aide d'Hasifa, la botaniste de Damas, qui copie et protège le précieux manuscrit, il initie une science nouvelle, la phytothérapie, si prisée de nos jours. Passion d'amour du côté d'Hasifa ; passion de la découverte du côté d'Ibn Baytar ; passion d'apprendre et de transmettre partagée par tous ceux-là qui viennent d'Andalousie, d'Egypte, d'Irak, de Perse, du Soudan ou du Maghreb ; passion d'enrichir un empire musulman : tel est le grand élan, qui fait converger vers Damas médecins, juristes, ingénieurs, poètes, musiciens et cuisiniers.
Vaste fresque foisonnante où se rencontrent une civilisation et une culture raffinées, ce roman est dominé par la haute et noble figure de la botaniste de Damas, femme d'exception pour une époque exceptionnelle.
Nous sommes à Damas au 13ème siècle. Hasifa, n'ayant pas accepté une seconde épouse auprès de son mari, se réfugie chez son père. Elle y côtoie les plus grands savants de ce siècle, beaucoup de scientifiques qui viennent rencontrer Ibn Baytar, leur hôte. C'est un médecin, botaniste et pharmacologue connu. Hasifa continue à apprendre à ses côtés et entreprend même la copie de ses textes. Cela lui permet d'oublier. Elle a en effet rencontré un étranger et une passion dévorante les relie. La relation n'est pourtant pas facile.
Le roman est intéressant par le fait qu'on y découvre la place de la femme dans cette société de machistes. Beaucoup de références sont faites au commerce existant entre l'orient et l'occident et au savoir-faire des artisans de Damas. En même temps, l'avidité des princes ne permet pas un monde stable, le risque de guerre est permanent. Des renseignements intéressants aussi sur les plantes et leurs fonctions.
Ce qui a rendu difficile la lecture, c'est un nombre foisonnant de personnages aux noms à rallonge, et même remarque pour les noms des villes. L'auteur utilise aussi un vocabulaire adapté pour de multiples objets de la vie quotidienne. Heureusement, elle explique. Les 100 premières pages m'ont parues pénibles mais j'y ai finalement pris goût.
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