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«Depuis vingt ans à vrai dire je n'ai plus cessé de rire. C'en est troublant, presque inquiétant, une anomalie car il y aurait plutôt de quoi pleurer, tragédies, saloperies, maladies, labeur de vivre, effroi de ne plus.
Toujours j'ai donné le change, mais aujourd'hui me trouve las d'esquiver et pressé d'admettre qu'en effet il y a quelque chose qu'il ne faut plus tarder à raconter.
Le temps est venu quoi qu'il m'en coûte de remonter à la blessure.
De remonter à 86.
À l'été 86.»
J'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans l'histoire. Pour être honnête, je me demande si je n'ai pas commencé à trouver l'histoire intéressante au ¾ du livre..
L'histoire n'est pas très dynamique, c'est un fait, mais je pense que le style de l'écriture y est aussi pour quelque chose. En effet, les phrases sont assez longues (en soit, ça ne me dérange pas, j'en suis moi-même adepte), mais surtout, la ponctuation n'est pas très présente. Il manque beaucoup de virgules pour rendre les phrases plus souples et plus digestes.
J'ai été un peu déçue, je m'attendais à plus de sentiments. Je n'ai pas trop accroché au roman.
Désolée Mr Begaudeau, j'ai été ravie de vous rencontrer au Salon du Livre, je vous apprécie beaucoup, mais le roman lui, un peu moins…
C'est remarquable : ça dit très très bien l'adolescence, ses impatiences, ses fulgurances, ses doutes, etc. L'écriture est fine, souvent drôle. Il y a un vrai style, qui ne fait pas le malin mais qui est l'oeuvre d'un écrivain, un vrai, un qui compte et qui va rester.
Un livre à savourer.
L'écriture de Farnçois Bégaudeau est vraiment jubilatoire. Il y a sa tendre et parfois mordante ironie, mais aussi cette finesse pour dire la guerre que l'on mène lorsqu'on a quinze ans.
Vacances 1986 en Vendée. L'été des quinze ans est celui où l'on doit "coucher". Pas facile quand tout se ligue pour empêcher les délices de l'initiation tant espérée !
La mélancolie et la cruauté affleurent parfois mais ce roman est une lame de fond de mots, de trouvailles et de péripéties absolument... renversante !
Le temps - ennemi de l'impétrant - défile au rythme de cette écriture énergique, dynamique-dynamite et nous entraîne jusqu'à l'âge mûr pour que la mémoire retisse le fil de la même histoire... ou d'une autre...
Ecriture festive, écriture bulles de champagne jusque dans la mélancolie de la fin de la fête, c'est le même bonheur que devant un film de Franck Capra. Une virtuosité qui joue et nous fait jouer avec le langage, avec la littérature... Bon... vous l'aurez compris : j'ai aimé La blessure la vraie !
un groupe d ados en vacances en vendee; des garçons, de l aloccool, la musique, la drague...Avec f begeaudeau aux commandes , on est loin de la banalité, car son narrateur n est pas un ado comme les autresQ. Ce n est pas un roman sur les années 80? L INTERET est dans le style affuté que begeaudeu utilise pour faire parler ses personnages, entre l urgence à vivre l instant présent à cent a l heure et une mélancolie désabusée , il fait mouche avec une plume parfaitement taillée qui lui va décidement bien.
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