"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A la fin du printemps 1941, non satisfait d'occuper la majorité de l'Europe centrale et occidentale, Adolf Hitler se tourne vers l'Est.
Persuadé d'en finir très vite, le Führer se targue de pouvoir réaliser le Lebensraum, "l'espace vital" germanique, auquel il aspire. L'Allemagne nazie part donc en guerre contre l'URSS de Joseph Staline. Mais atteindre la ligne Volga- Arkhangelsk, à 2 500 kilomètres à l'est de Berlin, implique d'enlever au passage Leningrad, Moscou, Kiev, Kharkov, ainsi qu'une autre ville, Stalingrad, qui va devenir en 1942 le tombeau de milliers de soldats.
La bataille de Stalingrad, ce fut Verdun en pire. L'horreur sans nom. L'homme traité comme moins qu'une bête, jeté en appât aux chars, aux mitrailleuses, aux canons. Ainsi le voulaient les deux destructeurs d'humanité du XXe siècle, nazisme et communisme, qui s'opposaient. L'existence humaine ne comptait plus, il fallait vaincre.
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