"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Le thriller de l'année. » The TimesDans le collège anglais où elle enseigne, Claire Cassidy donne chaque année un cours sur un classique de la littérature gothique, « L'Inconnu », de R.M. Holland. Cet écrivain a vécu et enseigné dans le même collège que Claire, qui, fascinée par ce personnage qui hante encore les murs de l'établissement, travaille à l'écriture de sa biographie. Mais un jour, Ella, sa collègue et amie est retrouvée morte. À côté de son corps, une citation de « L'Inconnu »...La littérature et la vraie vie entrent alors en collision, et Claire devient suspecte aux yeux de la police. Et le mystère s'épaissit lorsqu'elle ouvre son journal intime, ce journal dans lequel elle écrit chaque jour, et découvre une écriture qui n'est pas la sienne : « Bonjour, Claire. Tu ne me connais pas. » L'Inconnu, lui, connaît Claire, jusqu'à ses moindres secrets, et il n'est visiblement pas étranger aux meurtres qui vont se succéder au sein même du collège, toujours inspirés du livre de R.M. Holland. Claire arrivera-t-elle à changer la fin de l'histoire ?
Un meurtre dans un collège anglais ou comment me faire saliver avant même de commencer ma lecture ! Et voilà comment j'ai baigné le temps de quelques centaines de pages dans une atmosphère tout ce qu'il y a de plus anglais, nébuleux et délicieusement effrayant.
Quand Ella, professeure de littérature anglaise, est retrouvée poignardée chez elle, le collège dans lequel elle enseignait et ses collègues se retrouvent vite au cœur de l'enquête.
Le récit s'articule autour de trois femmes.
Claire est professeur d'anglais mais elle n'aurait pas déparé comme mannequin. Grande, belle, froide, elle attire les regards des hommes et la jalousie des femmes. Divorcée, elle vit seule avec sa fille adolescente, Georgia. Elle écrit ou plutôt tente d'écrire sur R.M. Holland, un écrivain ayant vécu dans le collège où elle travaille. Elle tient plus ou moins régulièrement un journal depuis l'âge de 11 ans ; ce journal qui va devenir une pièce maîtresse de l'enquête.
Harbinder est la policière chargée de l'enquête sur le meurtre. Elle est indienne, gay, ancienne élève de Talgarth High et vit chez ses parents. Elle fait preuve de beaucoup d'intuition. J'ai trouvé ce personnage très attachant.
Georgia est la fille de Claire. Elle adopte une attitude assez ambiguë avec sa mère, se faisant passer pour une ado "normale" soit plutôt décérébrée, se préoccupant de garçons et de réseaux sociaux alors qu'elle lit en cachette et souhaite devenir écrivain. Elle semble sous l'influence de sa professeure en atelier d'écriture, une "sorcière blanche" comme elle se décrit elle-même.
Tout m'a plu dans ce thriller.
L'ambiance délétère, extrêmement bien dépeinte, qui vous enveloppe dès les premières pages ; les références constantes à la littérature, Shakespeare, Wilkie Collins ou encore Georgette Heyer ; la nouvelle "L'inconnu" de R.M. Holland en toile de fond, qui débute et clôt le roman ; l'énigme autour de la vie de ce dernier ; les petites touches angoissantes comme les entrées d'un.e inconnu.e dans le journal de Claire...
J'aurais pu y passer encore plus de temps mais malheureusement pour moi (heureusement pour les protagonistes du livre), l'enquête finit par être résolue.
Mon échappée à Talgarth High fut immersive et absolument prenante.
Déception…..
J'ai lu de bons avis sur ce polar mais il ne tient pas ses promesses.
Il s'agit d'un roman choral, on y suit une tranche de la vie De Claire, de sa fille Georgie et d'une policière Harbinder qui va enquêter sur une série de morts suspectes liées au journal intime tenu par Claire.
Le livre est facile à lire (un peu simpliste peut-être ?), l'ambiance agréable, on se retrouve plongé dans la campagne anglaise, dans une ancienne école abritant la mémoire d'un énigmatique auteur de nouvelles fantastiques, mais on déplore des répétitions inutiles et plusieurs stéréotypes de genre dont on se serait bien passé.
Claire Cassidy, divorcée est professeur de littérature anglaise dans le Sussex à Talgarth High. Cet établissement abritait autrefois le bureau de Mr R.M Holland, auteur de la nouvelle "L'Inconnu". Cathy est fascinée depuis toujours par cet auteur et travaille à l'écriture de sa biographie.
Elle mène sa vie tranquillement entre ses cours, sa fille Georgia et son chien Herbert. Son univers s'effondre quand elle apprend que son amie, Ella a été assassinée. A côté de son corps, est découvert une citation de "L'Inconnu". Proche de son amie, elle est affectée et bouleversée et cherche désespérément à retrouver le coupable. Pour cela, elle va s'aider de journaux intimes dans lesquels elle consigne depuis quelques années ses états d'âmes, ses peines et ses moments de joie. C'est alors qu'elle va découvrir qu'une personne a lu son journal et l'a annoté. Qui est cet inconnu mystère et que veut-il ? C'est ce que va s'évertuer à résoudre l'enquêtrice, Harbinder en charge de l'affaire.
Je n'ai pas accroché à ce livre. Et pourtant, c'était bien parti avec un décor bien posé : une histoire sous fond de littérature anglaise,une ambiance victorienne voire un peu gothique et mystérieuse. Sauf que je me suis perdue... La faute peut-être au fait qu'il y ait différents point de vue au niveau de l'enquête ( Cathy, l'enquêtrice Harbinder et Georgia) m'a un peu désorientée et je me suis perdue dans l'histoire. Ce qui a rendu ma lecture décevante. Il m'a manqué des éléments sur le mystère qui entoure le décès de l'épouse de R.M Holland et sur lui-même d'ailleurs. Je ne me suis pas attaché à Cathy que j'ai trouvé antipathique et égoïste dans son comportement et cela a peut-être influencé mon avis sur le roman.
Je n'ai pas éprouvé les sensations que j'ai d'habitude quand je lis des thrillers : une sensation d'oppression, de l'angoisse.
Ce livre est une grosse déception pour ma part. J'ai trouvé également que le livre comportait trop de longueurs. de plus, je n'ai pas vu la fin venir... J'ai élaboré plusieurs scénarios et j'avais tort sur toute la ligne. J'ai trouvé la fin décevante, un final totalement inattendu.
C'est un livre qui ne sera pas un coup de coeur pour ma part. Mais il trouvera sans nul doute son lectorat.
Le journal de Claire Cassidy, The Stranger diaries en version originale parue en 2018, a été publié en 2019 par les éditions Hugo Thriller. L'histoire est racontée au présent selon le point de vue des trois héroïnes: Claire, sa fille Georgia et le lieutenant Harbinder Kaur. L'inconvénient de ce choix est que certaines scènes sont racontées plusieurs fois. Toutefois, le style alerte et le mélange fictif réalité/fiction (avec la création d'un romancier auteur d'une nouvelle fantastique si crédible que l'on croirait qu'il a réellement existé) compensent largement cet aléa.
Fil rouge: de nombreuses allusions à la littérature fantastique et à l'écriture émaillent agréablement le récit: "Il y a souvent des archétypes dans les histoires fantastiques, leur dis-je. Le jeune homme naïf, le confident, le traître, la femme maléfique...C'est un personnage que l'on rencontre souvent dans les romans gothiques. Songez à La Dame en Noir ou à Madame Rochester dans Jane Eyre. Elle descend directement de légendes comme celle du Conte de la Bourgeoise de Bath où une belle devient une harpie hideuse..." (Pages 22-23).
Automne 2017. Chaque année, Claire, professeur de littérature anglaise à Talgarth High, anime un cours sur la nouvelle L'Inconnu, un classique de la littérature gothique, dont l'auteur, R.M. Holland, qui a vécu et enseigné dans le même collège, la fascine au point qu'elle travaille à la rédaction de sa biographie.
Mais un jour, sa collègue et amie Ella est assassinée chez elle, une citation de L'Inconnu gisant à ses côtés. Aussitôt, la police, soupçonnant un proche de la victime d'être l'assassin, fouille dans le passé d'Ella et interroge ses amis.
Des événements inexplicables intensifient le mystère insondable de la mort d'Ella: qui a ajouté des phrases sibyllines dans le journal intime de Claire? Et pour quelle raison? Est-ce un ami ou un ennemi? "Je dois essayer de déterminer qui a pu avoir accès à mon journal. Je l'avais avec moi à Hythe et je l'ai peut-être emporté une ou deux fois au cours des séances de travail. Mais je fais toujours très attention à ne pas écrire quand je suis observée." (Page 90).
Claire a le sentiment que cet inconnu, qui semble bien la connaître, est impliqué d'une manière ou d'une autre dans l'assassinat de son amie. Déterminée à en savoir davantage, la jeune femme se lance dans une quête qui lui révèle une facette bien différente de ceux qu'elle croit être ses amis, y compris la victime. C'est alors que Rick Lewis, le directeur de son département, est à son tour assassiné...
Bien qu'auteur d'un grand nombre de romans, dont la plupart restent encore non traduits en français, je découvre, avec Le Journal de Claire Cassidy, la plume riche et originale d'Elly Griffiths. Sa composition, sous forme de journal, son atmosphère un tantinet surannée, son intrigue habilement construite, ses personnages bien campés en font assurément un des meilleurs romans de ces derniers mois, une lecture passionnante...qui donne envie de lire ses autres ouvrages, notamment la série consacrée à Ruth Galloway avec ses deux premiers opus traduits en français, Les Disparues du marais et Le Secret des Orphelins. Gageons qu'un jour prochain les dix suivants traversent enfin la Manche pour nous réjouir et nous faire frissonner.
Elly Griffiths nous propose ici un roman à la construction soutenue.
Pour autant sa complexité narrative n’est absolument pas rédhibitoire, puisque le lecteur ne se perd à aucun moment.
Claire, professeur de littérature, dispense ses cours dans un collège qui était autrefois la demeure d’un auteur devenu un classique de la littérature victorienne : R.M. Holland.
Et si la vie de Holland est connue pour ses nombreuses zones d’ombre et de mystères, la vie de la jeune professeure va elle aussi prendre un tour étrange lorsque sa meilleure amie est retrouvée assassinée de la même façon que l’un des personnages de Holland, et avec à ses côtés une citation de sa nouvelle la plus célèbre : L’Inconnu.
Commence alors une course contre la montre pour Claire et deux lieutenants de police afin que la réalité ne rejoigne pas la fiction et découvrir l’identité du tueur avant qu’il ne continue le scénario de cette terrible nouvelle...
L’alternance des chapitres nous permet de suivre Claire, au travers de sa vie courante et de ses journaux intimes qu’elle tient de manière assidue ; Georgia, sa fille adolescente, et le lieutenant Harbinder Kaur.
Qui dans l’entourage de Claire aurait pu commettre ce crime ? Et surtout à quel point la vie de Claire et de sa fille sont en danger ?
L’un des principaux atouts de ce thriller repose sur la qualité des personnages. L’auteure s’est attachée à en faire des protagonistes à divers niveaux de profondeur et tous parfaitement cohérents dans leur évolution.
Le lieutenant Kaur en particulier nous offre un excellent exemple de personnage parfaitement construit, et, bien qu’elle ait un caractère assez froid de prime abord, elle deviendra pour beaucoup de lecteurs la protagoniste la plus marquante du roman, parce que la plus profonde.
L’autre excellent point est d’avoir intégré à l’intrigue la nouvelle de Holland, en nous la dévoilant petit à petit au cours de paragraphes spécifiques.
Si l’action n’est pas toujours au rendez-vous, Le Journal de Claire Cassidy n’en reste pas moins une lecture qui remplit agréablement sa mission, et nous donne très envie de (re)plonger dans les romans de Collins ou Le Fanu.
Une excellente raison de découvrir ce titre.
Un grand merci à NetGalley et à Hugo Thriller pour m’avoir permis de lire ce merveilleux thriller.
L’histoire se déroule en Angleterre. Claire Cassidy est professeur d’anglais à Talgarth High. Il s’agit également du collège que fréquente sa fille de 15 ans, Georgia. Après son divorce, Claire a décidé de quitter Londres pour s’installer à la campagne afin de proposer un environnement calme et paisible à sa fille.
Un jour, Ella Elphick, professeur d’anglais à Talgarth, collègue et amie de Claire, est retrouvée assassinée chez elle. La police mène l’enquête. Plusieurs pistes sont suivies jusqu’au jour où un second cadavre est découvert. Il s’agit du directeur du département d’anglais de Talgarth. Des indices trouvés sur les scènes de crime laissent penser que les meurtres ont été commis par un amateur d’une nouvelle intitulée « L’inconnu », dont l’auteur n’est autre que R.M. Holland, célèbre auteur anglais qui a justement vécu à Talgarth. Son ancienne demeure a été transformée en établissement scolaire. Hasard ou coïncidence ?
Nous sommes les témoins des inquiétudes de Claire, cette mère de famille dévouée qui essaie de protéger sa fille unique. Nous suivons pas à pas les investigations de la police. Il existe de nombreux non-dits entre les personnages qui nous amènent à douter de l’innocence de chacun.
Mais qui est donc ce mystérieux tueur ? Cette question restera sans réponse jusqu’aux dernières pages. En effet, à aucun moment je n’aurai pu imaginer un tel dénouement. Je me suis laissée emportée par l‘histoire qui en devient presque addictive tellement je souhaitais en découvrir la fin. Je n’ai perçu aucun indice permettant de résoudre seule cette énigme.
La fiction de la nouvelle de R.M. Holland se mêle au présent du récit, sur un fond ésotérique. A chacun ses croyances. L’auteur nous conduit volontairement sur des chemins de traverses. Finalement, tout le monde a quelque chose à cacher, chacun est le gardien des secrets des autres.
Je recommande sans hésitation ce roman qui fut une réelle lecture plaisir de ce début d’année.
Voilà une histoire qui se déroule dans notre époque contemporaine mais qui sent bon le roman victorien. J'ai beaucoup aimé le faux rythme du début qui installe les personnages et sème le doute quant à leurs motivations et leurs secrets.
Le cadre se prête tout particulièrement aux apparitions de fantômes, mais c'est finalement, à mon avis, celui de Mary Higgins-Clark qui hantent ces pages avec un final innatendu digne de ses meilleurs romans. Un thriller destiné à devenir un classique selon moi.
À lire si vous aimez frissonner.
#LeJournalDeClaireCassidy #EllyGriffiths #HugoThriller #Netgalley #NetGalleyFrance #lecture #livres #chroniques #Polar #Thriller
Le quatrième de couverture :
Dans le collège anglais où elle enseigne, Claire Cassidy donne chaque année un cours sur un classique de la littérature gothique, L'Inconnu, dont l'auteur, R.M.Holland a vécu et enseigné dans le même collège qu'elle. Fascinée par ce personnage qui hante encore les murs de l'établissement, Claire travaille à l'écriture de sa biographie.
Mais un jour, Ella, sa collègue et amie, est retrouvée morte. À côté de son corps, une citation de L'Inconnu...
La littérature et le réel entrent alors en collision, et Claire devient suspecte aux yeux de la police. Le mystère s'épaissit lorsqu'elle ouvre son journal intome et découvre une écriture qui n'est pas la sienne : "Bonjour, Claire. Tu ne me connais pas." L'inconnu, lui, connaît Claire, jusqu'à ses moindres secrets, et il n'est visiblement pas étranger aux meurtres qui vont se succéder au sein même du collège, toujours inspirés du livre de R.M. Holland.
Claire arrivera-t-elle à changer la fin de l'histoire ?
Un meurtre a été commis dans le collège anglais où enseigne Claire Cassidy. J’ai suivi cette histoire grâce à la confiance de NetGalley, France et des Editions Hugo et Compagnie. Je les en remercie vivement.
La première victime est la collègue et meilleure amie de Cassidy. D’autres suivront, bien sûr !
Alors qu’elle veut confier ses peurs, ses questions, ses doutes à son journal intime, Claire constate que quelqu’un y a écrit une phrase énigmatique propice à glacer le sang de Claire et à jeter sur elle les soupçons que l’enquêtrice Harlinder ne peut s’empêcher de mûrir à son encontre. A la violence du meurtre apparemment sans raison s’ajoute, pour Claire, la violence de devoir confier son journal intime à La police. Le lecteur, voyeur, pourra donc en prendre connaissance en y jetant un coup d’œil par-dessus l’épaule de l’enquêtrice.
L’originalité de ce polar est de situer l’histoire dans un collège un peu vieillot où a vécu R.M. Holland, auteur de la nouvelle « L’inconnu » qui sera une toile de fond permanente au récit et qui focalisera bon nombre des questions que se poseront les personnages et, sans doute, le lecteur. Sans arrêt, la réalité se mêlera à l’écriture fictionnelle de cette légende-fantôme du Collège. La distillation de cette nouvelle en courts extraits tout au long de l’égrenage des chapitres servira d’ailleurs de charpente à l’avancement de l’enquête. Ce sera efficace sans pour autant se révéler extrêmement passionnant.
Néanmoins, le parallélisme entre les meurtres et « L’inconnu » permettra au lecteur de se demander si la vérité, cette fois, suivra le dénouement de cette construction littéraire ou pas.
De répétition, cette nouvelle ne sera pas la seule. En effet, l’auteure donne successivement la parole aux différents protagonistes, Claire, sa fille, les collègues de Claire, l’enquêtrice Harlinder et d’autres qui, tour à tour, revisitent, se racontent ou partagent leurs visions des différents faits qui se cristallisent autour de l’enquête. Ces redites, à mon sens, freinent la progression du récit et l’alourdissent sans bénéfice. Difficile de juger haletant et excitant un récit qui passe et repasse plusieurs fois sur le même sujet. La quatrième de couverture annonçait un thriller, je n’ai rencontré, qu’un roman policier. Une bonne enquête policière, ma foi mais sans ce ‘je ne sais quoi’ qui pousse le lecteur lambda à rester vissé à son bouquin, habité d’une impatience irrésistible jusqu’au dénouement sensé le faire frémir d’effroi. Non, vraiment, selon moi, la tension créée chez le lecteur du « Journal de Cassidy » n’est pas suffisamment forte pour pouvoir nommer ce livre thriller.
Mais, je l’accorde, si ce roman se déroule davantage au rythme du cérémonial « tea time » qu’à celui du petit serré avalé en urgence entre deux rebondissements, il reste qu’il est agréable à lire. Les personnages sont efficacement croqués selon les codes habituels, la description des lieux, locaux, lieux publics et habitats sont parfaitement crédibles. Si on accepte l’idée d’être davantage au rythme de Barnaby que de Dexter ou Hannibal, la lecture peut être plaisante et divertissante. A vous de juger !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !