L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Quelques mois après la disparition de John Updike, « Pavillons poche » rend hommage à ce prolifique auteur, deux fois lauréat du prix Pulitzer (1982 et 1991), en publiant son tout premier roman. Dans un hospice situé en rase campagne aux confins du New Jersey et de la Pennsylvanie, la monotonie de l'existence est rompue chaque été par une fête, qui est aussi l'occasion d'une traditionnelle vente de charité. Dès le matin les vieillards s'affairent à leurs préparatifs, malgré la menace d'un gros orage, qui finalement éclate. Heureusement les nuages disparaissent au bout de quelques heures, et la fête commence en fin d'après-midi. Une langue riche, précise et expressive ; une pensée dont la profondeur n'exclut pas l'humour; et l'irrésistible tendresse humaine qui parcourt tout le livre : telles sont les qualités majeures de cette allégorie de la générosité, qui se lit constamment avec le sourire.
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