"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Entrée en 1998 au Carmel de Magyarszék (Hongrie), soeur Kinga de la Transfiguration de Notre-Seigneur (Judith Büki) apprend en 2006 qu'elle a un cancer.
Elle ne se dérobe pas face à l'évolution inexorable du mal, ni la pénibilité des soins. Devant l'abandon confiant dont elle fait courageusement preuve, neuf mois avant sa mort en 2009, sa Prieure lui demande de tenir un journal. A la lumière d'une fin inéluctable, c'est la relecture de sa vie qu'elle entame alors, une redécouverte de son histoire avec Dieu. Au fil des pages, elle nous livre un témoignage sur les deux périodes de son existence, depuis son enfance jusqu'aux premières années au Carmel, et son combat contre la maladie.
Au coeur même de l'épreuve, elle rend compte de l'espérance qui la fait vivre au jour le jour, elle dit avec simplicité son cheminement intérieur, le oui indéfectible à son Seigneur pour offrir avec Lui sa souffrance, trouver du sens à sa maladie et sa mort à venir. Cette lente transfiguration invisible est une petite voie qui peut aider autant les malades que les accompagnants, pour donner une vision salvatrice à l'épreuve.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !