"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Après avoir invoqué Tanit au pied d'un grand cèdre, la liberté se fait des ailes, se fraye un chemin au milieu des souvenirs... On ne force jamais la joie sans verser quelques larmes qui abritent et libèrent le chant comme le cèdre et le vent. Ainsi, au seuil de la mère, de la terre, de la femme et de la lumière, naquirent le chant et l'errance. Entre mer et désert, la source redéfinit les lieux et replace les événements. Pour Elle, le poète se fait discret, se contente de nommer le voyage quand il est déjà « dans l'autre histoire, soustrait à l'espoir de naître de mots gratuits d'un joli rêve ». « Elle » se nomme amazighité... au nom de toutes les mélodies, le poète implore qu'on ne vende aucun chant d'aucun chanteur, d'aucun oiseau, d'aucun amour...
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