L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Il était une fois l'amour mais j'ai dû le tuer est un texte électrique aux accents de guitare rock, où se mêlent musique, alcool, drogues et érotisme, pour céder d'un coup à des accents lyriques d'émotion pure. Roman d'initiation où Rep, sous le soleil d'une Colombie féroce, tente de se libérer de l'ennui de Cartagena, sa Ville Immobile et d'oublier une certaine fille qui l'a abandonné. Au travers de séjours à Bogotá, d'amitiés passionnelles, de tentatives artistiques, Rep cherche à sculpter sa vie hors d'un réel d'où le rêve est absent.
Efraim Medina Reyes construit un univers passionnant de contrastes où l'évocation d'icônes du rock tels Kurt Cobain ou Sid Vicious croise le destin de Rep et de ses amis, où le cri de libération d'une jeunesse colombienne se mêle à des éclairs de poésie mystérieuse, où l'humour alterne avec la profondeur. La voix de Rep, extrême, insolente et sensible est celle d'un chamane moderne qui ne se prive pas d'en appeler à la conscience du lecteur puisque soit tu es un tricheur, soit tu es un rêveur, tout le reste c'est de la rhétorique.
Toujours à la limite, sans se poser de questions et dans un rythme haletant, Reyes/Rep nous montre une vie entre colère et joie marquée par les rencontres, l'amitié, l'érotisme et la violence.
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