A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
1921, Florence. Guccio Gucci ouvre son premier magasin et fonde un véritable empire familial. Trente ans plus tard, ses trois fils, Aldo, Vasco et Rodolpho, poursuivent son oeuvre en imposant mondialement la marque tant sur le plan artistique que sur le plan commercial. La troisième génération donne à cette réussite exemplaire des allures de véritable roman. Les Gucci et leur famille vivent dans l'opulence, multiplient aventures sentimentales, fêtes et défis sportifs. Tous les ingrédients du mythe sont là, y compris la fin tragique du dernier héritier, Maurizio, assassiné sur ordre de son ex-femme.
Aujourd'hui, Gucci est une société cotée en Bourse et dirigée par le Français François-Henri Pinault, P-DG du groupe Kering. Le rêve des origines s'éloigne, mais l'aura de l'aventure perdure. Cent ans plus tard, la maison de l'élégance à l'italienne ne cesse de rayonner et demeure l'incarnation de la dolce vita.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Emmanuelle Farhi À propos de l'autrice Sara Gay Forden a été pendant plus de quinze ans journaliste de mode en Italie. Elle est spécialiste des marques telles que Gucci, Armani, Versace ou Prada. Elle travaille aujourd'hui pour le groupe de médias Bloomberg News et habite à Washington.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...