"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu'à la mort.
Quiconque y vient n'en repart jamais.
Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants s'y sont tellement habitués qu'il leur arrive d'oublier sa présence. Ou la menace qu'elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra.
Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux. Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu'on leur impose. Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar...
« Une sorcière glaçante retient prisonnière toute une ville près de l'État de New York. Brillant et totalement original. » Stephen King
« Un écrivain prodigieux, la prochaine superstar du genre. » Paul Cornell
« Hex rappelle les meilleurs romans de Stephen King, et je ne connais pas de plus grand compliment. À la fois effrayant et émouvant, et même, à sa façon, très profond. » John Connolly
« Une histoire fantastique qui fait réfléchir, d'autant plus effrayante pour sa vision sans compromis de l'humanité... Hex est un livre qui répond à la fameuse question de l'origine du mal. » Robin Hobb
« Un concept fabuleux et inoubliable. L'auteur nous expose des événements surnaturels comme le ferait un Spielberg. » The Guardian
« Une parabole réellement terrifiante sur la perversion humaine... l'histoire n'est pas seulement dérangeante, elle est effrayante... lisez, si vous l'osez ! » Kirkus Reviews
« Des tensions cachées et la faiblesse humaine déclenchent une chasse aux sorcières qui dégénère en persécution, la recherche d'un bouc émissaire et un dénouement atroce. Un roman puissant qui fait froid dans le dos. » Financial Times
« Le meilleur premier roman d'horreur depuis Laisse-moi entrer de John Ajvide Lindqvist. » Alan Kelly
« Une histoire fascinante et pleine d'imagination qui vous hante. Hex est réellement captivant, avec son style qui entraîne le lecteur dans le monde de Black Spring pour ne plus le lâcher. » Fantasy Book Review
« Un roman brillant qui fait froid dans le dos. Âmes sensibles s'abstenir. » Brave New Worlds
« Entre Stephen King et La Cabane dans les bois, Hex se lit d'une traite. Avec son atmosphère étrange et intrigante, le roman de Thomas Olde Heuvelt surprend tout en donnant le frisson. » SFX
« Un roman d'épouvante réfléchi et intelligemment construit. » Sci Fi Now
Dans une petite bourgade nommée, Black Spring, une sorcière, bouche et yeux cousus se balade, ce qui habite cette ville et voit Katherine ne peuvent plus en sortir sous peine d'envie de suicide, l'histoire était glauque, mais de quoi se faire des frayeurs une fois les lumières éteintes.
Tout d'abord, le livre est très long à démarrer. La sorcière ne fait que de se balader sans ne rien faire la plupart du temps sauf si on la provoque (un peu comme un être humain sauf qu'elle a des pouvoirs en plus.) . Les personnages sont stupides et ennuyeux et se font à celle-ci en gardant leur petit secret au monde entier. Ils préviennent de la présence de celle-ci via l'application Hex. On a malgré cela les jeunes qui sortent du lot parce que jeunesse oblige, ils veulent trouver une solution pour sortir de cet endroit pour vivre ailleurs et pour cela protocole oblige (personne ne doit provoquer ou faire quelques expériences que ce soit.) ils vont le faire en secret malheureusement comme dans souvent dans le groupe se cache un mouton noir, violent, obsédé qui va toucher et humilier Katherine (cela m'a surprise qu'on puisse aussi facilement faire quoi que ce soit à un fantôme.) et chacun va en subir les conséquences ...
Une petite morale de l'auteur pour la fin, il écrit :"nous n'apprendrons décidément jamais" sous-entendus les êtres humains de Black Spring sont fautifs de ce qui est arrivé (dans le passé) et arrive (dans le présent) parce que comme disait Winston Churchill : "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre". Quant à l'épilogue je n'ai pas été surprise, mais certaines questions demeurent, une suite serait elle prévue ?
Attirée par la couverture de ce roman ainsi que par l’avis dithyrambique de Stephen King, j’étais très impatiente de découvrir cette histoire horrifique où le fantôme d’une sorcière terrorise les habitants d’une petite ville…. Dit comme cela on pourrait ne pas y croire car le sujet en lui-même n’est pas bien original, mais voilà ce sujet est traité de façon intéressante et intelligente. Ce livre a eu raison de mes préjugés cartésiens et m’a procuré un très bon moment de lecture.
Imaginez une charmante petite ville située sur les bords de l’Hudson, à quelques encablures de New York. Charmante, vraiment ? Black Spring est hantée par le fantôme de Katherine Van Wyler, une sorcière dont les yeux et la bouche sont cousus, qui rôde dans les rues de la ville et impose sa présence aux habitants, entrant chez eux comme bon lui semble. Au fil des ans, sa présence est devenue familière, certains la surnomment d’ailleurs « Mamie » mais personne n’oserait la défier, n’y la révéler au reste du monde au risque de voir la ville disparaitre. Personne sauf une bande d’adolescents qui s’amusent à la filmer jusqu’au jour où la situation dérape…
La tension monte progressivement : tout commence assez lentement, le temps pour l’auteur d’instiguer soigneusement le climat délétère qui règne sur cette petite ville confinée depuis des siècles. Dès qu’ils s’en éloignent trop longuement, les habitants sont pris d’un mal-être insupportable doublé d’une profonde angoisse pouvant les pousser à commettre l’irréparable: quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort, quiconque y vient n’en repart jamais… Une communauté régie par le Décret d’Exception, inculqué dès le plus jeune âge à tous les habitants, pour les obliger à respecter la sorcière. Celle-ci est observée continuellement par les caméras de l’HEX, une association qui a pour mission de la surveiller et surtout de la dissimuler au reste du monde. Cela vous donne un aperçu de l’ambiance qui règne sur cette charmante petite ville… Mais lorsque des gamins faisant fi de l’autorité et des règles imposées, s’en prennent à la sorcière, les évènements gagnent en intensité: Katherine Van Wyler, aveugle et condamnée à se taire depuis des siècles n’a de cesse de vouloir se venger. Si certains passages procurent une bonne dose de frissons sympathiques et que le final glaçant est bien à la hauteur de cet ambitieux roman, sa profondeur réside dans la description des relations entre les membres d’une communauté soumise à la peur.
En lisant les remerciements de l’auteur, on apprend que la version originale de ce roman situait l’intrigue dans un petit village néerlandais, et que suite à une proposition de son éditeur pour une publication à l’étranger, T. Olde Heuvelt a eu l’opportunité de réécrire le livre en déplaçant son intrigue aux Etats-Unis et en modifiant le final. Oh! Mais pourquoi ? Une version de l’intrigue située aux Pays-Bas ne pouvait apporter qu’un plus à cette histoire intrigante.
Ce roman ravira les amateurs de lectures fantastiques et les adeptes de grands maitres dont T. Olde Heuvelt est le digne héritier : Stephen King, Graham Masterton, Clive Barker, Dean Koontz …
Je dois avouer que je n'ai pas du tout frissonner pour ce livre, c'était plus d'ordre psychologique que d'horreur à proprement parler. Dans la première partie du livre, il ne se passe pas grand chose et je me suis un peu ennuyer (300 pages où on pose le cadre général ça devient un peu long), mais la deuxième partie waouh, c'est plutôt intense en émotion ! La fin du livre a créer pour moi un immense sentiment de malaise et je ne sais pas trop quoi en penser mis à part que l'être humain est un être abominable quand il est confronté à ses peurs.
Un bon moment de lecture. Je partage le fait que Stephen King ait apprécié l'originalité de l'histoire, car on y retrouve beaucoup de similitudes avec ses écrits à bien des égards. J'ai adoré cet histoire de sorcière forçant tout un village à vivre en totale autarcie, isolé du reste du monde sous peines de grands malheurs. Un roman efficace bien que le frisson promit n'a pas eu son emprise sur moi.
Ce livre est un pur délice, du suspense, de l'horreur .. des rebondissements à tout va .. des doutes, des questions à outrance, des réponses surprenantes .. je suis fan de ce livre !
Frissons garantis quand vous avez une imagination débordante.
Dès le début, le tempo du livre insinue en nous un malaise qui ne nous quittera pas.
Des scènes assez sanglantes par moment, du dégoût pour l'être humain.
Nous suivons ici le quotidien d'une petite ville des Etats-Unis, Black Spring. Cette ville,
cache aux yeux de tous, un terrible secret, une magnifique malédiction. En effet, une sorcière
hante la ville et apparait comme bon lui semble aux yeux de tous. Une organisation, l'HEX, fait
tout ce qu'il peut pour éviter que la sorcière, alias Katherine, ne surprenne les étrangers.
Car oui, Blanck Spring est sous une sorte de dôme invisible, qui cache aux yeux de tous cette entité.
L'HEX contrôle tout, les caméras de la ville, internet ainsi que les allées et venues des étrangers.
Seul souci, les ados de la ville semble en avoir marre de ce secret, où il ne faut rien dévoiler
au monde. Difficile d'en vouloir à ces ados qui voudraient vivre leurs vies et pouvoir partir,
mais qui ne peuvent pas et qui pour se venger, veulent dévoiler au monde leur secret.
Et voilà que l'horreur va se déchaîner sur la ville d'où personne ne rentre mais personne ne sors sous peine d'être hanté par ses propres démons.
J'ai eu cette impression, de regarder une télé-réalité à travers toutes les caméras de la ville,
mais en version glauque. Et surtout vivre avec une sorcière cousue de partout, il faut vraiment
avoir les nerfs solides, ou bien être résignés, comme la population.
Ce livre nous prouve encore une fois, que l'être humain, dès qu'il est poussé dans ses retranchements par un phénomène qu'il ne peut ni expliquer ni contrôler, perds de son humanité par pur égoïsme.
Mais comment en vouloir à un père qui ne peut supporter le deuil de son enfant.
Malgré tout ça, je n'ai eu aucun attachement aux personnages, mais j'ai eu une profonde empathie
envers Steve.
Par contre, je ne m'attendais pas à cette fin, assez surprenante même si nous n'avons pas eu
de fin réelle. Ni pourquoi, ni comment. Par contre l'épilogue m'a glaçé le sang.
Le fait de voir à la fin que la WARNER pourrait en faire une série m'a rendue folle de joie,
car franchement ce livre à tout le potentiel pour faire un carton. En somme, un coup de coeur
pour cette histoire.
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