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La Guerre d'Algérie n'en finit de susciter des polémiques.
Ces derniers mois, acteurs, témoins, universitaires et journalistes se sont intéressés à la question de la torture, qui en constitue une des phases les plus tragiques. Force est cependant de constater que les arrière-pensées politiques ne sont pas absentes du débat actuel, au vu des signataires des premiers textes dénonçant la torture - qui pourrait d'ailleurs l'approuver ? Tous les soldats français qui ont participé à cette guerre n'ont pas été des tortionnaires...
Mais, même cela, il est parfois impossible de le faire admettre par nos directeurs de conscience qui occupent, une fois de plus, l'avant-scène. Comment réagir, près de cinquante années après les événements ? Aller jusqu'au bout, sans aucun doute. Mais par un travail d'explication, avec un regard d'historien. Telle est la démarche de ce livre qui évoque un aspect particulier de la Guerre d'Algérie, autour du gouvernement présidé par le socialiste Guy Mollet en 1956-1957.
Le président du Conseil était-il au courant de la torture ? Savait-il tout ? Quelles ont été ses réactions ? Cet ouvrage, basé sur ses archives personnelles, va sans doute à l'encontre de ce qu'on a pu lire ces derniers mois, mais il apporte des éclairages inédits sur une période dramatique de notre histoire contemporaine.
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