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" Le pouvoir est au bout des fusils ", disait Mao, et la répression du printemps étudiant de 1989 l'a illustré sur un mode sanglant. Toutefois, réduire la stratégie de règne du Parti communiste chinois à une colonne de chars sur Tiananmen ne suffit plus à rendre compte de la complexité de la politique chinoise. Si le pays est toujours dirigé d'une main de fer par le Parti communiste, répressif et autoritaire, il s'est régénéré aux sources du capitalisme et de l'économie de marché. Un paradoxe qu'accompagnent des résultats si impressionnants qu'ils nous fascinent autant qu'ils nous effraient. Un paradoxe que décrypte ici Frédéric Bobin. Il montre comment le Parti communiste chinois a opéré une mue identitaire, en réhabilitant le nationalisme et en s'arrimant aux classes moyennes et aux entrepreneurs. Quels sont les contours de ce nouveau pacte social ? Comment se traduit-il dans la vie des Chinois et les évolutions politiques et économiques du pays ? Quels en sont les enjeux et les limites ? Autant de questions auxquelles Frédéric Bobin répond dans " Good bye Mao ? " Nourri de nombreuses anecdotes, cet ouvrage s'impose comme le livre de référence sur la Chine contemporaine.
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