L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Je me demande si je dois parler des choses dont je ne me souviens pas comme de celles dont je me souviens.» Que savons-nous de Gertrude Stein (1874-1946) ? Qu'elle fut poétesse, écrivaine, dramaturge, féministe. Qu'elle passa la plus grande partie de sa vie en France et mourut à l'hôpital américain de Neuilly. Qu'elle reçut dans son appartement du 27 rue de Fleurus, à Paris, en compagnie d'Alice B. Toklas, tout le gotha de la littérature et de l'art contemporain, de Picasso à Hemingway, d'Ezra Pound à Fitzgerald, permettant entre autres l'éclosion du cubisme. On la dit excentrique, mystificatrice, tyrannique, on fit même d'elle une «Mère l'Oye de Montparnasse». Raymond Queneau aimait à répéter qu'essayer de la comprendre n'était pas chose aisée, ajoutant : «La traduire encore moins, la présenter bien moins encore.» Philippe Blanchon la restitue à sa juste place : celle d'un écrivain unique impliqué avec énergie dans son siècle.
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