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Geronimo

Couverture du livre « Geronimo » de Matz et Jef aux éditions Rue De Sevres
Résumé:

"1850, Nord du Mexique. Sur les terres ancestrales des Apaches, un énième massacre. Un campement est attaqué par les soldats mexicains. Parmi les victimes, la femme, les trois enfants et la mère d'un jeune homme médecine réputé pour sa science et ses prémonitions : Goyahkla, « celui qui bâille... Voir plus

"1850, Nord du Mexique. Sur les terres ancestrales des Apaches, un énième massacre. Un campement est attaqué par les soldats mexicains. Parmi les victimes, la femme, les trois enfants et la mère d'un jeune homme médecine réputé pour sa science et ses prémonitions : Goyahkla, « celui qui bâille ». Assoiffé de vengeance, Goyahkla réunit les différentes tribus apaches pour se venger du village où a eu lieu le massacre. Les grands chefs Cochise, Juh, Mangas Coloradas le suivent. Dans le combat homérique qui va suivre, Goyahkla va s'illustrer, gagner le rang de guerrier et un nouveau nom : Geronimo. Parce que les survivants mexicains en s'enfuyant invoquaient saint Jérôme. Mais si Geronimo a décidé de vouer sa vie à se venger des Mexicains, l'arrivée des Blancs va tout bouleverser. Les Apaches doivent affronter un ennemi encore plus nombreux et plus dangereux, que Geronimo va commencer par sous-estimer. C'est une lutte désespérée, que Geronimo va mener jusqu'à la limite de ses forces et de celles des siens, insaisissables pour l'Armée américaine.
Geronimo était l'Indien proverbial, vivant en communion avec la nature. Il était le dépositaire des coutumes ancestrales des Apaches, connaissait son territoire mieux que quiconque, le dernier Indien libre.

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Avis (2)

  • Geronimo, qui ne s'appelait pas encore comme cela est né en 1829 dans la tribu apache au Nouveau-Mexique. Quelques années plus tard, les Mexicains massacrent son village, sa femme et ses trois enfants. Geronimo n'aura alors de cesse de se venger et de tenter de reconquérir les terres des tribus...
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    Geronimo, qui ne s'appelait pas encore comme cela est né en 1829 dans la tribu apache au Nouveau-Mexique. Quelques années plus tard, les Mexicains massacrent son village, sa femme et ses trois enfants. Geronimo n'aura alors de cesse de se venger et de tenter de reconquérir les terres des tribus indiennes que les Mexicains d'abord puis, les Américains leur volent. Il s'allie à d'autres, Cochise, Mangas Coloradas pour la lutte.

    C'est l'histoire de ce chef apache légendaire que raconte Matz et dessine Jef et plus globalement l’histoire de la colonisation puis de l'élimination des Indiens d'Amérique. Dans certains vieux westerns, le message véhiculé est celui des méchants Indiens contre les bons blancs venus s'installer dans le nouveau monde. Il est bon de connaître les vraies raisons de la violence de Geronimo et autres chefs indiens qui, simplement, luttaient pour leur survie.

    L'album joue avec les tailles de cases, les couleurs et si j'ai eu un peu de mal au début avec le dessin, je m'y suis habitué. Une belle manière de revoir l'histoire du grand guerrier Geronimo.

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  • Je ne suis pas une grande fan des histoires d’Indiens, de cow-boy et plus largement de western. Maaaaaaaais comment résister à cette couverture ?

    L’histoire est passionnante. C’est celle de Goyahkla aka Geronimo, un chaman devenu guerrier de renom après le massacre de son village et notamment...
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    Je ne suis pas une grande fan des histoires d’Indiens, de cow-boy et plus largement de western. Maaaaaaaais comment résister à cette couverture ?

    L’histoire est passionnante. C’est celle de Goyahkla aka Geronimo, un chaman devenu guerrier de renom après le massacre de son village et notamment de la mort de sa mère, sa femme et ses trois enfants.

    Il va associer à sa vengeance différentes tribus Apaches, ensemble, ils vont mener des raids de plus en plus redoutables. D'exactions en exactions, on assiste à une escalade de la violence. Quand soudain, un nouvel ennemi entre dans la partie.

    Côté dessin : La palette de couleurs est divine ! Alors que je suis tombée en pâmoison face aux paysages et aux décors, j’ai eu beaucoup de mal avec les personnages. J’ai trouvé le trait des expressions très rude... Ça a évidemment du sens, mais je n’ai pas été emballée.

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