Après de brillantes études où il subit, dès les petites classes, le mal être et la perversité de ses pédagogues, Benoit Gillardin quitte l'école à 16 ans. Il enchaîne alors diverses carrières, livreur de pizza, barman, machiniste, peintre en bâtiment, animateur de centre de loisir et autres puisqu'il faut bouffer et payer ses factures. Des conclusions qu'il tire de son parcours scolaire - préfigurant déjà le monde à venir du bluff et du foutage de gueule - et de celles de la vie active, il décide aujourd'hui de tout arrêter et se met à écrire.
Du même auteur chez Edilivre : C'est bon d'être con, Dieu est suisse.
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