"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Le Front Populaire Ivoirien (FPI) veut construire une société libre.
Il faut l'entendre en trois sens : c'est une société libérée. Car la société ivoirienne de 1997 - les fait récents (la mort et les obsèques du premier chef d'État, la passation à la présidence de la République) l'ont montré - n'a pas encore acquis sa réelle indépendance ; c'est une société libératrice. Les luttes des citoyens doivent libérer l'Etat de ses servitudes partisanes, concrétiser les libertés formelles, offrir des droits égaux à tous les groupes qui en sont privés (femmes, jeunes, minorités ethniques ou raciales, groupes confessionnels, étrangers) ; elles doivent conjurer les tendances au chauvinisme, au tribalisme et au régionalisme, à l'expansionnisme et à la domination ; c'est une société de libertés.
La nation ivoirienne ne doit pas simplement intégrer les droits et libertés universellement reconnus (droit de résistance à l'oppression, droit d'asile, droit de l'enfant), elle doit participer à l'invention de nouveaux droits. " (Harris Mémel-Fotê).
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