"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 20 novembre 1994, deux diocésaines du Puy étaient béatifiées à Rome, sueur Agnès de Langeac et une sueur quasiment inconnue : Eugénie Joubert (1876-1904), qui appartenait à un tout jeune institut, la Sainte Famille chi Sacré-Coeur, consacrée au service de la catéchèse dans les villages. Sueur Eugénie passa la plus grande partie de sa brève existence entre Yssingeaux et Le Puy. Son itinéraire est tout proche de celui de Thérèse de Lisieux, sa contemporaine qu'elle n'a pas connue : partageant avec elle une enfance marquée par les ruptures affectives et de lourdes épreuves, elle choisit le combat de l'amour : « Voir ma misère et l'aimer. (...) J'arriverai à une grande confiance par l'amour... dans la simplicité du petit enfant. » Comment en effet ne rejoindrait-elle pas les jeunes ou moins jeunes dans leur manque de confiance en soi, dans leurs interrogations secrètes ? Et les chrétiens engagés dans la catéchèse trouveront en Scieur Eugénie un exemple lumineux.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !