Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
«Eugénie Grandet, on connaît. Ou on croit connaître... Si on n'a lu qu'un seul roman de Balzac, il y a de bonnes chances que ce soit celui-là. Limpide, ou du moins semblant l'être, linéaire, riche en contrastes psychologiques d'une grande efficacité, il a tout pour se faire consommer aisément. On le dirait même édifiant : le terrible Grandet et la dolente Eugénie se font valoir l'un l'autre comme deux modes antagonistes et incompatibles de l'être, d'où la leçon morale paraît sortir et s'imposer d'elle-même. À part quelques grincheux, tout le monde s'accorde à trouver l'oeuvre parfaite en son genre, même si c'est un genre relativement mineur. Le sinueux et papelard Sainte-Beuve témoigne à sa manière, toujours plus ou moins biaisée, de la réussite quasi unanimement (et immédiatement) saluée, lorsqu'il condescend à reconnaître qu'il s'en faut de bien peu que cette charmante histoire ne soit un chef-d'oeuvre ! - sans prendre d'ailleurs la peine de préciser ce qui lui manque pour que l'ouvrage soit accompli à ses yeux. Mais charmante, Eugénie Grandet, vraiment ? [...]» Philippe Berthier.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force