Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Depuis longtemps, j'ai noté que les histoires de survivants (...) n'offrent la part belle qu'aux personnages masculins. Le dernier à éteindre la lumière n'est jamais une dernière, sauf rare exception en tant que faire-valoir du protagoniste. La crise sanitaire a été un prétexte et un temps donné pour raconter, à ma façon, une histoire de confinement et de survivante. Une épreuve initiatique subie qui métamorphose l'héroine et la fait grandir. Enfin j'aime beaucoup Majorque et j'ai trouvé amusante l'idée de transformer cette ile très fréquentée en un lieu de solitude totale. L'auteure adore les Baléares mais vit et travaille à Paris dans le secteur associatif. Elle oeuvre pour la même ONG depuis plusieurs années. Férue d'habitat et d'architecture elle multiple les voyages, surtout dans les villes ou elle peut observer à loisir comment les gens y vivent et s'approprient l'espace urbain. Cette notion d'appropriation de l'espace se retrouve dans son roman, premier travail d'écriture né du confinement et mené à bien pendant cette période singulière.
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