"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A la question de savoir quelle était la meilleure approche pour défendre l'environnement menacé, la réponse a longtemps été celle de l'État, la voie réglementaire. Mais, les limites budgétaires propres à tout État, la perte de sens induite par l'inflation réglementaire et la remise en cause plus générale de l'État comme seul acteur des politiques de régulation ou de protection, illustrent, sans la condamner irrémédiablement, les défauts de la seule approche réglementaire. La première rencontre internationale sur les relations entre droits de propriété et environnement, tenue du 27 au 29 juin 1996 à Aix-en-provence, a permis de dresser un bilan des expériences internationales et de conclure que l'État n'est pas le seul acteur possible, que l'approche réglementaire justifie d'être réévaluée à l'aune de son efficacité et de la prise en compte d'un outil original qu'est le droit de propriété. Ce faisant, les communications réunies dans cet ouvrage, en combinant des analyses relevant du droit, de l'économie et de la science politique, introduisent une réflexion théorique inspirée de l'analyse économique des décisions publiques.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !