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Dostoïevski est peut-être le plus grand romancier de tous les temps. Il est au roman ce que Shakespeare est au théâtre : la référence absolue. Cela fait de lui un monument entouré de ses personnages.
Et pourtant, c'était un homme, un homme passionné, sensible, faible. Dans les romans de Dostoïevski, les amours sont toujours tumultueuses, malheureuses. Ses héroïnes sont souvent déchues, exaltées, passionnées, sacrificielles.
En se penchant sur le démiurge réduit à l'état d'homme, Alain Durel le rend étonnamment familier et humain. Il comble ainsi un vide et fait du grand romancier le héros du roman de sa vie. Car tout est vrai dans Dostoïevski amoureux. Indépendamment des qualités de l'écriture et de l'art de mener le récit, c'est là la grande qualité de ce livre.
On connaissait le révolutionnaire, le terroriste, le joueur, le croyant. On connaît maintenant le Dostoïevski amoureux.
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