"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"Djebel, je t'ai maudit" raconte la guerre d'Algérie vécue par Claude Delorme, période au cours de laquelle se tisse de loin en loin son aversion pour les armes. À travers ces années passées dans un décor de guerre, loin de sa famille, on découvre combien la souffrance morale est édifiante. Ce jeune père reviendra très affecté de vingt-huit mois de combats indûment attribués. Sur cette terre il a réclamé la paix entre les hommes. Grand-père Elie lui avait toujours dit : «La guerre c'est le pire des maux.» Accablé, il trouvera dans son foyer aimable la clé de la réussite, même si parfois l'écorce y est rugueuse. L'incompréhension, la jalousie, la cruauté des hommes le poussèrent dans les flammes de l'enfer. Après avoir vécu ces années diaboliques, comment se débarrasser des oripeaux de la déchéance ?
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