"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le personnage principal, tragique, douloureux est Louise Hasard. C'est le hasard, la nécessité, le destin. Tout est grave, solennel. C'est le malheur. Les gens du quartier disent que c'est la maison du malheur. La mort revient. Martin et Léa, les enfants de Louise, meurent. Pourtant viennent l'amour, l'affection de la famille (Louise, Baptiste, les tantes), les chansons de Boris Vian, de Léo Ferré, d'Yves Montand, de Juliette Gréco... C'est l'époque : de 1945 à 1983. La tendresse est essentielle. Mais la souffrance et la douleur dominent. Louise Hasard, la rebelle, la douloureuse, est hantée par l'absence des êtres : celle de son père, celle de sa mère, Aude, qui s'est éloignée, et enfin celle de son premier enfant, Martin, mort à un mois. Louise renferme beaucoup de secrets. Elle garde ses secrets. Et sa fille, Léa, est aussi possédée de ces secrets.
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