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Les publications autour de Marx et Engels, relativement à la question éducative, ont été nombreuses jusqu'aux années 1970. Mais elles se sont progressivement taries, lorsque l'horizon d'une « fin de l'histoire » liée au triomphe du néolibéralisme a orienté les intérêts vers la recherche de la meilleure gestion marchande de l'éducation possible.
L'auteur considère ici l'éducation comme l'ouverture à l'accès à la formation de soi-même par l'émancipation, dans la lignée des expériences de Pestalozzi (dont on comprend que Marx avait vraisemblablement connaissance), loin de la vision d'une éducation imposée par des institutions promouvant une metanoia par un dévoilement de la vérité de leur propre assujettissement aux opprimés. Cet ouvrage pose ainsi une problématique nouvelle et fructueuse : en quoi la tradition marxiste est-elle passée à côté de ce qui chez Marx est proprement révolutionnaire dans l'éducation ?
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