"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A partir du concile de Charroux en 989 jusqu'au celui de Clermont en 1095,les institutions des idées de paix fondées se continuent sans arrêt. En invitant à la première croisade, le pape Urbain II rappelle la paix de Dieu et la trêve de Dieu à Clermont. Avec l'idée de paix, le chevalier se met sous l'influence des institutions de paix en défendant l'Eglise et les pauvres et en combattant les ennemis du Christ pour faire régner la paix de Dieu. En regardant la première croisade comme une guerre sainte, les chroniqueurs sont des témoins imprégnés de l'esprit chrétien et justifient alors la légitimité de l'entreprise militaire comme une guerre sainte contre les ennemis du Christ. En ce sens, Saint Bernard, abbé de Clairvaux, essaye de renouveler la conception de la guerre et le guerrier, milites Christi. Dans le passage de continuité des idées de paix, le chevalier se présente comme un type idéal d'homme féodal pour garder la paix en faisant la guerre contre les païens pour la victoire et la justice de Dieu.
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