Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Extrait :
Il y a cette lueur dans ma vie où peu à peu je prends tous tes traits dans cette chambre ou un jardin où tu te signales en empruntant le chant d'un oiseau à travers les feuilles de l'arbre je t'ai vu sautiller en lui jusqu'à l'herbe sous les ramures où mes yeux sont en toi dans l'ombre où tu reviens toujours.
Quand entre ombre, errance et visage, un poète songe à regarder le ciel pour y retrouver la trace de celle qui a nourri cette trace d'écriture et de sentiment...
Poésie intime que celle-ci, parce que Michel Bourçon, qui maîtrise le poème en prose, montre ici que le poème versifié libre lui convient bien et permet aussi à son auteur de s'épancher, sans jamais tomber dans le trop rose ni le trop noir, dans une écriture qui ne fait jamais fi de la discrétion.
À la sobriété de l'expression (vers brefs, poèmes denses, peu d'images) correspond une volonté de ne jamais peser, d'être au fond, comme l'oiseau, gravité et légèreté dans le même geste.
Extraits de la préface de Philippe Leuckx
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