L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
L'Amérique latine brûlait aux feux des dictatures, au Chili, en Uruguay, au Brésil, en Argentine ! Le Che était mort. En toute impunité, on torturait, assassinait, violait, enlevait... La terreur, c'est de tuer sans logique ; le crime, c'est d'être en vie. Entrer en résistance dans ce contexte, organiser l'espoir suppose le courage de mourir mais aussi une foi sans mélange. Une foi en Dieu, en l'homme, et dans un ordre des choses qui tôt ou tard primera sur la force. A. Perez Esquivel possède cette foi. Il a accueilli le Prix Nobel de la Paix au nom de tous ceux qui, d'un continent à l'autre, sont nés pour rien. Appliquant les principes de la non-violence, sans angélisme, il a oeuvré et oeuvre aujourd'hui à hauteur d'homme, avec un amour méthodique, avec le talent et les mains d'un artiste. C'est son témoignage que recueille ici Philippe de Dinechin.
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