L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Raskolnikov, jeune étudiant vivant dans la misère, assassine sa logeuse à coups de hache. C'est le point de départ de Crime et châtiment, chef-d'oeuvre paru en 1866, inspiré des quatre années que Dostoïevski passa au bagne en Sibérie. Révolté par la misère, l'alcoolisme et la corruption qui sévissent alors en Russie, l'auteur tire de cette pourriture une oeuvre immortelle. Raskolnikov, ambitieux et solitaire, rejette la morale collective, transgresse les lois de la société, et se rêve en nouveau Napoléon. Pour lui, le monde se divise en deux catégories : les êtres ordinaires et les êtres exceptionnels ; à ces derniers, tout est permis ; alors oui, son crime, comme ceux de Napoléon, sera justifié par l'Histoire. Plongeant dans les ténèbres de l'âme humaine, disséquant la morale, analysant les rouages de la violence, Dostoïevski décrit la déchéance d'un homme, poussé dans ses retranchements par la cruauté du monde.
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