"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
ELLE peint des visages au regard clos, des yeux qui versent des larmes de sang, des corps qui s'effacent, des enfances sans joie, des portraits de femmes disparues comme les poétesses Sappho et Nadia Anjuman : par son talent de peintre, Mylène Besson donne des couleurs à l'absence. IL écoute les images de l'artiste, se laisse traverser par les émotions qu'elle suscite, écris des poèmes pour prolonger les échos qui se font en lui : par ses mots, Michel Ménaché fait parler les silences de la peinture. Et un dialogue s'instaure entre deux arts ; lisible et visible se mêlent ;
Les portes de toile nous ouvrent à une compréhension plus subtile du monde. Comme l'a souvent répété Michel Butor, présent dans ce livre par deux poèmes inédits, l'avenir d'une oeuvre d'art réside dans son inachèvement...
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