"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Après deux ans et demi d'absence, la comtesse d'Agoult se réinstalle à Paris, rue Neuve-des-Mathurins. Elle renoue avec la vie artistique et mondaine de la capitale, ouvre un salon où elle convie ses vieilles et nouvelles connaissances. Les déclarations d'amour pleuvent mais elle y résiste sans mal car elle aime toujours profondément Franz Liszt. Émile de Girardin, qui parvient cep endant à ébranler ses sentiments, lui ouvre les colonnes de la Presse où elle publie ses premiers articles, sous le pseudonyme de Daniel Stern. Dans ce troisième volume, défile un nombre impressionnant d'artistes qui fréquentent son salon de manière plus ou moins régulière : Alfred de Vigny, Eugène Sue, George Sand, Honoré de Balzac, Victor Hugo, Jean-Auguste-Dominique Ingres, Char les-Augustin Sainte-Beuve, Adam Mickiewicz, Henry Bulwer-Lytton, Henri Lehmann, sans compter les musiciens.
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