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Corps met les voiles (le)

Couverture du livre « Corps met les voiles (le) » de Behja Traversac aux éditions Chevre Feuille Etoilee
Résumé:

Le corps en cris Comme la violence physique blesse et mutile, d'une autre manière, les représentations, le langage, peuvent aussi blesser, amoindrir, exclure, asservir. Il y a des manières, il y a des mots, il y a même des qualificatifs, des traces infamantes dans le langage qui dévalorisent ou... Voir plus

Le corps en cris Comme la violence physique blesse et mutile, d'une autre manière, les représentations, le langage, peuvent aussi blesser, amoindrir, exclure, asservir. Il y a des manières, il y a des mots, il y a même des qualificatifs, des traces infamantes dans le langage qui dévalorisent ou abîment le corps des femmes. Ce dernier a été, il est, aussi loué, encensé, aimé ne l'oublions pas. C'est donc entre la part maudite de ce corps craint, méprisé, caché, battu et sa part heureuse qu'oscillera la première partie de ce colloque. Le cri est cri de douleur, mais il peut être cri de joie, cri de la naissance. Cri de la jouissance amoureuse aussi qui est l'expression même de la plénitude.Le corps écrit Comment l'écriture travaille-t-elle la conscience que les femmes ont de leur corps ? Comment réciproquement le corps féminin à l'oeuvre dans la langue travaille-t-il la langue ? Nous interrogerons donc le corps qui écrit, qui s'écrit et qui, s'écrivant, se construit, s'invente, s'imagine et invente le réel qui est aussi ce que notre capacité d'imaginaire nous permet de symboliser à travers la langue. Nous interrogerons aussi le - comment - du travail d'écriture car avec quoi travaille l'écrivain si ce n'est avec ses sens, si ce n'est avec son corps ? Ce sera le thème de la deuxième partie.

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