"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Celso a tout pour prétendre être un homme heureux et accompli. Cet élégant chroniqueur littéraire profite de la douceur de Rome et de la tendresse d'Antonia, épousée trente ans plus tôt, pour panser les plaies d'une passion dévastatrice. Mais un jour il reçoit un message. Elena - celle-là même qu'il a eu tant de mal à oublier - l'informe qu'elle sera bientôt de passage et qu'elle aimerait prendre un café avec lui. Douze jours, voici le temps qui lui reste. Pour comprendre pourquoi il sentait si vivant au côté de celle qui l'aurait à coup sûr empêché d'être jamais heureux et accompli. Douze jours pour savoir s'il est prêt à tout risquer pour revivre ce frisson, come prima. Entre drame et comédie, porté par une écriture aussi pleine de grâce que de flèches, le roman met à nu un antihéros profondément attachant. « Celso, c'est moi, dit Sophie Simon. Sa lâcheté, ses angoisses et ses doutes sont les miens. » Mais c'est aussi la combinaison de figures italiennes, le Zeno de Svevo, Mastroianni, Gassman, Sordi, des hommes superbes et risibles, qui ont accompagné l'auteure durant l'écriture de Come prima, comme dans sa vie.
Le journal de l'amour de Celso et Elena.
La passion, la folie, la trahison, la jalousie qu'ils vont partager jusqu'à la rupture. Malgré tout un mal le ronge: sa passion pour la très belle Elena.
Il se marie avec Antonia et a deux enfants. Il coule une vie tranquille. Trente ans plus tard Elena se manifeste et souhaite le revoir.
Un peu lassée par les hauts et les bas de cet amour j'ai eu du mal à terminer ce roman.
Vivant à Rome des jours calmes et semble-t-il sereins auprès d’une épouse aimante, l’écrivain respectable semble à l’abri des passions dévorantes de la jeunesse, mais un mail de la troublante Elena, dont il fut éperdument épris trente ans plus tôt vient bousculé l’ordre établi.
C’est l’occasion de revenir sur cette histoire ancienne et les tourments passés.
Le récit est largement centré sur cette passion houleuse,, mais avec adresse l’auteur permet au narrateur d’analyser les origines d’un échec inéluctable, avec humour et auto-dérision. Car notre héros amoureux est loin de l’image du mâle alpha. Et si l’enfance avait créé un terrain propice aux déboires futurs ?
On apprécie l’ambiance italienne, et l’exubérance des romains, pour un roman tout en finesse sur les mécanismes inconscients des choix amoureux et des conduites d’échec, rédigé avec beaucoup d’humour et agrémenté de dialogues savoureux. La famille est aussi au coeur du roman, même absente ou défaillante.
Interruption de lecture à la page 104.
Pourquoi ça ? Tout simplement parce que je ne suis pas dedans. Je n’accroche pas, ni avec Celso, ni avec l’intrigue. Pourtant le titre me plaisait bien et sa localisation, Rome, aussi, mais l’éternelle opposition entre l’amour raisonnable et l’amour passionnel ne prend pas sur moi aujourd’hui.
Titre qui m'a fait penser à la Dolce Vita italienne, envie de douceur et de soleil, je me suis lancée ! Come prima veut dire comme avant, comme autrefois.
Celso vit à Rome avec sa femme Antonia avec laquelle il a eu deux filles. Un beau jour, il reçoit un message d'Elena, son premier grand amour qu'il n'a pas revu depuis 20 ans. Le livre nous raconte pourquoi leur amour n'a pas survécu alors que Celso se sentait si vivant à ses côtés. Un livre plaisant et agréable à lire, bien écrit.
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