"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 12 décembre 1923, Raymond Radiguet meurt à Paris, fusillé par les soldats de Dieu. Il a vingt ans. Jean Cocteau est dévasté, Radiguet était comme son fils. Il va le pleurer trois jours et trois nuits durant. Il vient de perdre la moitié de lui-même. Il se réfugie près de Nice, à Villefranche-sur-Mer et se cache. Ce deuil au soleil, il l'accompagne d'opium et de dérives sur l'eau.
Ses amis, Picasso, Auric, Stravinsky viennent le voir. Ce seront trois années dans la nuit de son chagrin et le bleu de la mer. Poèmes, dessins, pièces de théâtre vont naître là, à l'ombre de son enfant perdu. La vérité, il le dit, est toujours du côté de la mort. Et de l'amour...
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