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Clarice plus nous

Couverture du livre « Clarice plus nous » de Sylvain Zorzin aux éditions Tapabord
  • Date de parution :
  • Editeur : Tapabord
  • EAN : 9782490429165
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Cyril, un adolescent de seize ans, se réveille à l'hôpital après un coma de quelques heures. Partiellement amnésique, il reconstitue peu à peu son histoire, découvrant les raisons qui l'ont conduit à se retrouver dans cette chambre, avec ces blessures sur le corps. Tous ses repères ont vacillé... Voir plus

Cyril, un adolescent de seize ans, se réveille à l'hôpital après un coma de quelques heures. Partiellement amnésique, il reconstitue peu à peu son histoire, découvrant les raisons qui l'ont conduit à se retrouver dans cette chambre, avec ces blessures sur le corps. Tous ses repères ont vacillé en une semaine à peine - son amitié est-elle vraiment solide ? Et qu'en est-il de son amour si fort pour Clarice ? Chiche ! La vie pourrait-elle se résoudre ainsi sur un coup de poker ? Chiche... Ce texte, réaliste, est l'histoire d'une amitié qui se frotte aux ronces de la jalousie. L'apprentissage des sentiments est un parcours lent et périlleux... Sylvain Zorzin est journaliste. Il a publié de nombreuses histoires en presse jeunesse et ado, ainsi que plusieurs romans.

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  • Un extrait, pour donner envie :

    "On dit que l’on retient d’un coma les mots qui ont été prononcés autour de notre corps. Je ne me souviens de rien. Peut-être n’a-t-on rien dit. Peut-être ma mère a-t-elle contemplé mon corps sans rien faire d’autre que laisser couler ses pleurs. Mon père a...
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    Un extrait, pour donner envie :

    "On dit que l’on retient d’un coma les mots qui ont été prononcés autour de notre corps. Je ne me souviens de rien. Peut-être n’a-t-on rien dit. Peut-être ma mère a-t-elle contemplé mon corps sans rien faire d’autre que laisser couler ses pleurs. Mon père a posé sa main sur mon épaule, par politesse, effleurant la bande sans jamais toucher la chair. Les médecins sont entrés de temps en temps, sans aller jusqu’à émettre des « hum, hum », qu’on n’aurait pas su déchiffrer de toute façon. Et ce, des semaines, des mois durant.
    Je n’y crois pas. On est dimanche, le lendemain du samedi où tout s’est passé, et c’est nul de croire que je peux entrer dans le Livre des records pour un si court coma. S’il le faut, les spécialistes en blouse blanche n’ont même pas employé ce mot de coma. Ils ont parlé à mes parents de sommeil, de ce que font les nourrissons et les vieillards pour s’occuper. Papa et maman ne vont pas tarder à me reprocher ma grasse matinée."

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