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Citoyen président ; lettre ouverte au président Mobutu Sese Seko... et au

Couverture du livre « Citoyen président ; lettre ouverte au président Mobutu Sese Seko... et au » de Buana Kabue aux éditions L'harmattan
Résumé:

Le Zaïre risque à tout moment de s'effondrer dans une formidable explosion. Ce cri d'alarme et d'angoisse d'un jeune journaliste nationaliste zaïrois prend ici la forme de trois lettres ouvertes adressées au Président Mobutu Sese Seko (qu'il connaît fort bien) et aux chefs d'Etat et de... Voir plus

Le Zaïre risque à tout moment de s'effondrer dans une formidable explosion. Ce cri d'alarme et d'angoisse d'un jeune journaliste nationaliste zaïrois prend ici la forme de trois lettres ouvertes adressées au Président Mobutu Sese Seko (qu'il connaît fort bien) et aux chefs d'Etat et de gouvernement des principaux pays occidentaux et africains qui prétendent aider le Zaïre à éviter cette catastrophe. Témoin privilégié de la vie politique zaïroise sous la deuxième république, l'auteur recherche et analyse méthodiquement, avec un accent très personnel, les causes de cette menace d'une nouvelle congolisation du Zaïre et il les découvre essentiellement dans la nature du régime actuel imposé à ce pays. Documents et témoignages irréfutables et de première main à l'appui, l'auteur dresse le bilan d'échec des treize années de gestion du Président Mobutu. Toutefois, ce livre est aussi un acte de foi dans l'avenir du Zaïre, un ardent plaidoyer pour la construction d'une société communautaire africaine, démocratique et décentralisée au coeur du continent. Ancien rédacteur en chef à Demain l'Afrique , Buana Kabue a également assumé jusqu'en février 1974 la rédaction en chef de l'hebdomadaire kinois Zaïre , avant de faire partie de la rédaction politique de l'hebdomadaire Jeune Afrique . Pourtant ce n'est pas en tant que journaliste que Buana Kabue publie ce livre, mais en tant que simple citoyen comme il s'en explique dans sa lettre au président Mobutu. Il s'adresse à celui-ci comme naguère dans nos villages, sous l'arbre à palabres, on interpellait librement le chef du clan sous les regards bienveillants, mais aussi parfois courroucés, des Anciens.

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