Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Cimiez, la banlieue champêtre de Nice

Couverture du livre « Cimiez, la banlieue champêtre de Nice » de Michel Massimi aux éditions Campanile
  • Date de parution :
  • Editeur : Campanile
  • EAN : 9782369930648
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Pour faire connaître la colline au lecteur, ou au promeneur, l?auteur nous conduit dans les différents quartiers qui la composent : Carabacel, Cimiez, Brancolar et une partie de l?Arbre inférieur et Supérieur. La limite des propriétés étudiées se situe à la hauteur des Quatre Chemins (actuelle... Voir plus

Pour faire connaître la colline au lecteur, ou au promeneur, l?auteur nous conduit dans les différents quartiers qui la composent : Carabacel, Cimiez, Brancolar et une partie de l?Arbre inférieur et Supérieur. La limite des propriétés étudiées se situe à la hauteur des Quatre Chemins (actuelle place du Commandant Gérome) qui constitue la limite septentrionale de Cimiez. Certains localisent le quartier de Cimiez bien au-delà, jusqu?à la clinique Saint-George, mais c?est une erreur. Au-delà de la place se situe le beau quartier du Cap de Croix et de Rimiez.
Cet ouvrage retrace l?origine, l?amélioration, l?évolution et la modernisation de ce quartier mythique de Nice. La vogue de la Riviera provoqua la construction d?une multitude de villas plus ou moins prestigieuses qui commencèrent à s?étaler sur la colline. Ces petits palais furent de plus en plus luxueux, plus imposants et donc plus chers à la location. La concurrence entre ces demeures et les hôtels fut rude, chacun s?arrachant les milliardaires (souvent malades) venus dépenser leur or pour se refaire une santé.
Dans ce livre, de nombreuses constructions sont identifiées et répertoriées, avec les propriétaires qui les ont bâties, les principaux personnages qui y ont vécu et ceux qui y sont morts. La seconde moitié du XXe siècle fut pourtant fatale à beaucoup de ces « vieilles Dames » remplacées par des immeubles de rapport plus ou moins identiques.

Donner votre avis