L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Long cheminement accompagnant de nombreux traumatismes, l'exil est un arrachement à la terre natale, une perte des êtres et des objets aimés, un abandon de la langue maternelle. Il porte les traces de la violence qui a précipité l'expulsion. Ce déracinement provoque un deuil singulier, entre nostalgie et euphorie, entre idéalisation du pays perdu et idéalisation du pays d'accueil. Mais l'exilé demeure un étranger qui ne cesse d'avoir à faire valoir son identité. En s'appuyant sur la littérature, la mythologie, les figures de Moïse et d'oedipe reprises par Freud - exilé lui-même -, Lya Tourn trace les contours de ce pheénomène profondément inscrit dans l'histoire de l'humanité. À la faveur de son expérience clinique, elle interroge les enjeux identitaires de l'exil. Car si l'exil peut mener à l'anéantissement d'un sujet, il peut conduire aussi à un dépassement, vers une identité ouverte.
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