"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les récits - tous teintés à des degrés divers de fantastique - qui composent la série du Club Diogène, ont pour cadre le Paris de la fin du XIXe siècle. Ce qui motive les membres de ce club dans leurs investigations nocturnes, menées en tout bénévolat, c'est avant tout l'ennui, le cynisme et la jobardise. C'est cet improbable mélange de mal de vivre fin-de-siècle et de burlesque qui donne son ton particulier au Club Diogène.
Chef d'oeuvre, premier volume de la série, met aux prises les membres du club avec un curieux collectionneur dénommé Benjamin Lacurie. Quand certains collectionnent les autographes et d'autres les boutons de culotte, Lacurie semble s'être pris d'une passion irrépressible et quasi-mystique pour... les têtes humaines. Ce sera l'occasion pour le lecteur de faire la connaissance des sept membres du club Diogène, cinq hommes et deux femmes aux caractères tranchés: Vayec, Franklin, Fédor, le Maréchal, d'Orville, Camille et Lison... autant de pseudonymes, car l'identité réelle, l'existence de chacun des membres sont scrupuleusement conservées secrètes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !