L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ecrire au plus près de soi, dans un souci d'attention au monde.
Interroger notre quotidien le plus banal. Creuser dans la mémoire et ses failles. Apprivoiser deuils et blessures. C'est l'un des objectifs que s'est donné Françoise Ascal. Les journaux Cendres vives et Le Carré du ciel constituent les deux premiers volets de cette entreprise que poursuit La Table de veille. Ecrit entre 1980 et 1988, Cendres vives aborde la mort d'un père, le monde clos de l'hôpital et une recherche d'apaisement.
Le Carré du ciel, allant de 1988 à 1996, s'interroge sur la mémoire et le temps, le bien et le mal. Par des passerelles avec la musique, la littérature, la peinture, par un rapport privilégié à la nature, les aspects sombres de cette quête du " comment vivre " laissent pourtant filtrer une lumière inattendue.
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