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A l'origine, la terre et les éléments étaient encore habités par la présence divine. Le vent parlait de l'Esprit, l'eau de la vie, le feu de l'amour qui purifie.
L'homme voyait la nature comme un livre, comme une parole venant de plus loin et de plus grand que le monde. Pour en connaître le récit, l'homme cheminait de lieux en lieux; la terre se déroulait sous son regard comme le rouleau primordial sur lequel était écrit le secret des choses.
Dans le premier volume de ses Carnets nomades, Nathalie Nabert a voulu retrouver cette relation originaire, poétique, de la Parole avec une terre - ici le désert africain. Il ne s'agit pas d'évoquer un paradis perdu ou de susciter de la nostalgie, mais de donner voix à l'Origine, dans un lieu, dans une terre, avant que le vent de l'oubli efface sa trace.
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