"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un jour d'automne, après s'être éloigné de quelques pas sur un chemin forestier, Hector VanBollewinkel, le parrain de lamafia belge, se suicide d'un coup de 357 Magnum. Une manière de se soustraire au cancer généralisé qui le rongeait, explique-t-il dans son testament. Toute sa fortune, considérable, est léguée à ses deux petits-enfants, des jumeaux, à une condition : qu'ils aillent en personne disperser les cendres du défunt sur les collines de son village natal. Hélas, à peine la lecture du testament est-elle achevée que cette entreprise paraît déjà bien compromise : la voiture et le chauffeur du parrain sont pulvérisés dans un plastiquage.
Marguerite, la veuve d'Hector, décide de réagir. Faute de pouvoir demander le concours de la police, elle se tourne vers la famille et fait appel, pour assurer la mission de dispersion des cendres, à un parent : le cousin Canardo...
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