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«La première partie de Calligrammes, "Ondes", n'a pas non plus manqué de lecteurs, à commencer par André Breton, qui appréciait tout particulièrement "Le musicien de Saint-Merry". Elle a fait l'objet d'études nombreuses et approfondies, de même que les derniers poèmes du recueil, "La victoire" et "La jolie rousse". En revanche, les pièces écrites pendant la guerre ont été et sont encore des laissées-pour-compte. Jamais encore jusqu'à ce jour l'ensemble de Calligrammes n'a été l'objet d'une étude monographique. La réticence, compréhensible, devant certains poèmes nécessairement "en situation" a pu dès l'origine fausser le jugement et détourner les lecteurs du recueil. Pourtant, les poèmes écrits pendant la guerre ne sont pas seulement des témoignages, et des témoignages émouvants : ils relèvent d'une écriture poétique dont la nouveauté égale et même dépasse encore celle d'"Ondes". Leur organisation spatiale, leur libération par rapport au poème figuré, les fac-similés de manuscrits, tous ces éléments visuels s'ajoutent aux audaces d'une imagination toujours prête à surprendre, ou aux subtilités des vers». Claude Debon.
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