"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Caligula fut non seulement le plus célèbre des empereurs romains, mais aussi celui qui fut associé au plus grand éventail de perversions sexuelles : sadisme, zoophilie, inceste, nécrophilie et urophilie, entre autres. Sous son règne court mais sanglant, il n'épargna aucune humiliation à ceux qui avaient le malheur de provoquer sa colère. Stephen Barber retrace dans Caligula : le divin carnage l'odyssée meurtrière d'un empereur rendu fou par le pouvoir. Iconoclaste, rabelaisien et viscéral, son récit aborde aussi le spectacle cruel des jeux du cirque, avant d'explorer les atrocités commises par d'autres césars sanguinaires, tels que Commode, l'empereur-gladiateur. Pour donner vie à ces pratiques inhumaines d'un autre âge, l'ouvrage se pare de gravures extraites du Traité des instruments de martyre et des divers modes de supplice du révérend père Antonio Gallonio, véritable catalogue de tortures affreuses, de pressoirs, de meules et de tourniquets voués à déchirer les chairs des premiers chrétiens condamnés à mourir dans l'arène.
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