L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Je vis, / Mais je vis pour mourir. Et, alors que je respire, je ne vois rien / Qui rende la mort haïssable, sinon un attachement inné, / Un instinct vital, aussi détestable qu'invincible. / Je l'abhorre autant que je me méprise, / Et reste pourtant incapable de le dominer... / Ainsi, je vis. Si j'avais pu ne jamais vivre !» Caïn n'est pas une tragédie classique, mais un «mystère" métaphysique, aux tonalités baudelairiennes, où dominent les thèmes de la révolte, de la faute et de la culpabilité. Caïn est le rebelle total, le négateur de Dieu et de la nécessité même de la vie. Lucifer pour le séduire engage avec lui un grand dialogue sur les misères de la condition humaine, et l'entraîne dans un voyage fantastique à travers l'espace et le temps. Caïn finira par tuer son frère Abel, figure de la soumission à Dieu. Cette pièce tourmentée, éclaircie par quelques moments idylliques, fut encensée par Goethe et Shelley, et au XXe siècle par Tomasi di Lampedusa.
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