"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Brassens par Le Forestier... Un chanteur raconte son maître en chansons. Maxime Le Forestier a appris la guitare sur des partitions de Brassens ; il a côtoyé, débutant puis jeune star de la musique, celui qui a déclenché sa vocation ; il a donné quelque cinq cents concerts consacrés à l'oeuvre du maître, allant jusqu'à enregistrer une intégrale devenue classique du genre. Au moment où l'on célèbre le double anniversaire de sa naissance et de sa disparition, qui était mieux placer pour retracer la vie du géant de la chanson française ? Dialogues éclairants, anecdotes drôles ou émouvantes, connaissance encyclopédique de son répertoire, compréhension intime du génie du maître : Maxime Le Forestier nous conte "son" Brassens, ses années de guerre, ses débuts austères et bientôt fulgurants, son succès planétaire, sa vision du monde et de la poésie, son mode de vie sans pareil, son itinéraire unique, son talent de compositeur qui égal, contrairement à l'idée reçue, sa maîtrise des mots.
Une plongée subjective et profonde dans l'univers Brassens, qui a tant influencé la chanson française, suscité tant de vocations, et marqué tout autant l'histoire littéraire et musicale française.
Avec « Brassens et moi » , Maxime Le Forestier raconte leur rencontre, le partage d’une scène puis le premier dîner et les reprises à deux guitares, puis cette amitié très paternelle de Brassens pour son protégé.
En racontant combien les partitions de Brassens ont accompagné son adolescence pour la découverte de la guitare, Maxime le Forestier détaille la filiation toute amicale qui existent entre ces deux compositeurs. C’est l’anticléricalisme de Brassens qui ouvrira en premier un univers de pensés à explorer pour le jeune Maxime.
Fils spirituel d’un père qui ne voulait pas d’enfant, Maxime Le Forestier présente l’homme, son engagement notamment en amitié, sa passion des mots et sa fidélité amoureuse.
Brassens, selon Maxime le Forestier, continuait à travailler ses chansons, même sur scène. Alors que lors d’un récital, les rares sourires qui précédaient une vanne venaient perturber un agencement qui semblait être réglé au millimètre. Pour un anniversaire, Brassens réclame un « trou du souffleur ». Car avec toutes les versions qu’il invente, il ne s’en souvient plus. Alors, antisèches et souffleur, il fallait prévoir !
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2021/04/09/maxime-le-forestier-brassens-et-moi/
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !