"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Blanche, la nuit est une pièce d'enfance, avec ses codes, son imagerie, ses mythes. Tout commence par la journée ordinaire d'une petite fille, Blanche. Journée qui se termine comme d'habitude, seule dans sa chambre la peur au ventre avant de plonger dans le mystère de la nuit... Son histoire pourrait se passer dans le néant. Qu'est-ce que c'est le néant ?
Pourquoi avons-nous peur ? Quelle est notre place dans tout ce vide ?
DISTRIBUTION 1 fille, 2 hommes. GENRE théâtre intime.
Miaoustaches. « Un monde où les maisons, les arbres, les cailloux, les nuages, les étoiles, les oiseaux, les papas, les mamans, les papis, les mamies, la petite soeur de Marcel, le chat d'Archibald et même les princesses endormies ont des moustaches qui poussent... mais seul un personnage n'a pas de moustache. Enfin, il court derrière, mais elle ne reste pas en place, car cette moustache est trop frivole, trop impatiente pour rester plantée sur un visage. Cette moustache vole dans les airs comme un oiseau libre. Arrivera-il à l'attraper ? Qui sait ? » Stanka Pavlova DISTRIBUTION 5 femmes, 8 hommes - pouvant être interprêtés par des marionnettes. GENRE théâtre de l'absurde.
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