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La gestion actuelle de la fertilisation azotée dans les systèmes de culture bananiers intensifs aux Antilles françaises est basée sur une méthode qui laisse des incertitudes quant à l''ajustement de doses d''engrais aux besoins des cultures, et ne prend pas en compte l''apport constitué par le sol et les résidus de culture. Des expérimentations sur 2 cycles contrastés de culture, avec une approche méthodologique permettent une analyse précise des différents termes du bilan d''azote biodisponible. Ces travaux apportent des connaissances fondamentales sur le cycle de l''azote en bananeraie jusqu''alors peu connu, et montrent notamment que (i) les quantités actuelles de fertilisants représentent plus du double des besoins en premier cycle (200 kgN.ha-1an-1) et plus de 8 fois ceux des cycles suivants, (ii) les pertes d''azote par lixiviation, sont non négligeables en premier cycle, en bananeraie établie, elles sont trois fois plus faibles, (iii) l''apport des résidus correspondant n''est pas négligeable par rapport aux besoins d''une bananeraie établie (50 kg N.ha-1 an-1), (iv) 15 à 20 % de l''azote de l''engrais sont organisés dans le sol en premier cycle, 35 à 40% pour les cycles suivants.
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